poesie
TaguéEnchainer les mots pour les délivrer
« Vous enchaînez les mots, c’est pour les délivrer… » écrit Jules Supervielle dans un poème hommage à St John Perse.
Et si nous décidions soudain – follement ! – de nous astreindre (…) à une discipline du bonheur par les petits plaisirs immédiats, ignorant les innombrables autres, clinquants et sensationnels, que nous fait miroiter la société de consommation et de nous efforcer, par exemple, (…) de sourire aux fantômes de notre imagination poétisante ? Qui peut dire, alors, quelles sortes de perspectives s’ouvriraient inespérément à nous (…) ?
Denis Grozdanovitch, La puissance discrète du hasard
Toute heure à l’émerveillement
Retour à la lumière
J’ai d’abord entendu Thomas Vinau. En le lisant, je l’entendais. Son écriture était une voix singulière. Son second roman, Ici, ça va, est aussi simple que son titre. La rivière au bout du jardin coule sous la peau de la page. C’est un monde idéal loin d’être parfait, mais qui fait l’affaire et surtout : qui réunit.
Saint-John Perse
Je saute sur l’occasion d’un dimanche pluvieux pour vous parler de ce vieux monsieur mort depuis longtemps qui porte sur lui [LIRE LA SUITE]
Le prix exorbitant de la beauté
Caillots ensoleillés de la mémoire
et dénombrement des merveilles
quand tu savais vivre de peu
ta vie t’accompagnait comm [LIRE LA SUITE]