prose
TaguéCentral Europe
Au détour d’une conversation, nous en sommes venus à parler de l’état du monde, des voitures brûlées, des migrants noyés, à se convaincre qu’il ne fallait pas désespérer (ligne de partage des eaux entre les pessimistes et les optimistes, ainsi que toutes les nuances de pessimiste à court terme, optimiste à long terme)… et la littérature est entrée dans la discussion, comme un miroir ou une lentille par laquelle nous pouvions observer, à distance, l’effet sur les êtres.