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Catégories3 à 4 jours
« Taper un livre peut prendre 3 à 4 jours, mais écrire un livre peut prendre 3 à 4 ans. »
Seth Godin
Enchainer les mots pour les délivrer
« Vous enchaînez les mots, c’est pour les délivrer… » écrit Jules Supervielle dans un poème hommage à St John Perse.
Le temps scellé de Tarkovsky
Ce n’est pas si vieux et pourtant c’est un autre monde : la censure cinématographique soviétique. Le livre de théorie artist [LIRE LA SUITE]
Et si nous décidions soudain – follement ! – de nous astreindre (…) à une discipline du bonheur par les petits plaisirs immédiats, ignorant les innombrables autres, clinquants et sensationnels, que nous fait miroiter la société de consommation et de nous efforcer, par exemple, (…) de sourire aux fantômes de notre imagination poétisante ? Qui peut dire, alors, quelles sortes de perspectives s’ouvriraient inespérément à nous (…) ?
Denis Grozdanovitch, La puissance discrète du hasard
Le mépris de classe
« Tout pour Notre-Dame, rien pour les Misérables ». Le slogan entendu lors de la dernière manifestation des gilets jaunes à [LIRE LA SUITE]
Prélude au jazz
Dans ce charmant petit livre consacré à Debussy, où l’auteur (Philippe Cassard, pianiste) parcourt la vie du compositeur fra [LIRE LA SUITE]
Il n'y a qu'un moyen de changer le passé, et c'est de le rêver différent. N'est-ce pas ce que nous faisons très efficacement de l'avenir ?
Eric Chevillard
L'explosion de la tortue
Notes de lecture : La Toile
Notes de lecture de La Toile, de Sandra Lucbert : citations et de réflexions.
Drugs don’t work…
« Drugs do work… ». Ainsi commençait (de mémoire) une fameuse chronique de Julie Burchill, fine plume de la presse britannique, dans le Guardian à la fin des années 90. Contredisant The Verve, la journaliste rappelait que la puissance des drogues tenait précisément au fait qu’elles étaient efficaces. Julie Burchill sait de quoi elle parle puisqu’elle lui a, depuis, perdu son fils aux paradis artificiels. Drogue et littérature : trois auteurs croisés récemment ont inhalé le sujet.
Central Europe
Au détour d’une conversation, nous en sommes venus à parler de l’état du monde, des voitures brûlées, des migrants noyés, à se convaincre qu’il ne fallait pas désespérer (ligne de partage des eaux entre les pessimistes et les optimistes, ainsi que toutes les nuances de pessimiste à court terme, optimiste à long terme)… et la littérature est entrée dans la discussion, comme un miroir ou une lentille par laquelle nous pouvions observer, à distance, l’effet sur les êtres.